Et quand les défaites viendront rimer
Avec fourchette et avec Olivier
Seras-tu là pour me consoler ?
Pour nos éclats de rire si complices
Mais qui déjà vers le néant se glissent
Seras-tu là à boire le calice ?
Pourras-tu suivre là où je m'en vais ?
Sauras-tu guérir mon jeu si mauvais ?
La fatigue et les nuits beaucoup trop courtes !
Et l'orgueil, mes pires ennemis sans doute !
Je suis si las, bientôt mon âme s'envole
Mon cœur blessé cherche du réconfort
Dans des rêves où mon roi devient idole
et garde votre amitié comme trésor !
Echiquéennement Vôtre,